Le cafard....

Le Cafard.....

Ecrire et partir dans un rêve lointain, sans possibilité de revenir.

Revenir pourquoi, pour qui ?

On ne sait plus, arrivé à un certain stade ; on ne pense plus, on ne réfléchit plus : c'est le vide.

Ou du moins une période de la vie, qui arrive brutalement, quelque chose d'inné, d'insensé : Le CAFARD.

Un mot d'une grande complexité. Ca arrive à un moment que l'on attend pas, c'est comme une déchirure de soi.

Après une dispute, une phrase ou un mot dit.

Tout le système est déclenché, la machine infernale commence.

Quaund ça arrive personne ne peut rien faire, ni dire, malgré les mots de réconfort, les petits mots gentils, personne ne peut rien faire.

C'est comme une coquille dans laquelle, on est enfermée, du "béton armé", rien ne passe, à part des bruits, des murmures, des sons.

La machine de la mémoire, cette mémoire si sensible qui nous rappelle les bons moments passés ensemble, ces fous rires, ces enguelades, ces tourments et j'en passe......

Quand cette chose arrive, nous nous sentons bizarre, et à la fois éloigné des gens qui nous entourent, méchant, et une mauvaise humeur montre que ça ne va pas : agressivité, dans les gestes et les mots.

Un besoin de se sentir seul(e), et craquer....

Les pleur, sont la seule chose qui nous permet de voir que ça ne va pas du tout, mais ce qui s'appelle pas du TOUT.

L'envie de tout casser, quitte à tout perdre, plus rien n'a d'importance.

Quand ce genre de situation arrive, on est heureux de rentrer chez soi, prendre son cahier et écrire.

Ecrire, tout ce qui passe par la tête.

Le stylo écrit tout ce que le cerveau lui dicte, comme un ordinateur avec le clavier !!!